Propositions pour un Nouveau Paradigme Psycho-épidémiologique


L'État des sciences humaines, universitaires, fondamentales, médicales, est tellement délabré, que nous sommes sans doute à la veille d'une grande remise à plat de la parole scientifique, qui a cru pouvoir remplacer par l'analyse statistique et les croisements de données des pans entiers de la connaissance humaine. Par exemple en épidémiologie, il semble nous manquer un chapitre, concernant l'impact des flux de l'activité économique sur la circulation des virus, qui permettrait d'expliquer, par le tourisme, les transports en commun ou les rassemblements dans les grands bâtiments administratifs, comment le confinement à domicile n'empêche pas de nouveaux cas de contamination. La parole scientifique s'est fourvoyée et se fourvoie aujourd'hui au plus haut niveau des décisions stratégiques de l'État. Nous devrons certes veiller à délimiter le champ des savoirs scientifiques, de manière à ce que des méthodes utiles en physique ou en électronique ne soient pas généralisées à la psychologie des épidémies ou à des domaines qui requièrent une interprétation culturelle, humaine, holistique, un jugement politique responsable.

Fonder une décision politique sur des vérités scientifiques absolues ou statistiques, cela revient à automatiser le processus politique. Nous devons nous alerter de la partialité du Conseil Scientifique en matière de méthodologie scientifique. Il n'existe pas une seule manière de parvenir à la même découverte théorique, bien souvent les sciences humaines, complètent, critiquent, analysent des théories validées expérimentalement, pour le plus grand bénéfice de notre compréhension. Les médecins consultés pour élaborer la stratégie française auraient dû être confrontés à des économistes, à des psychiatres, à des psychologues, pour que l'État puisse réellement peser le pour et le contre du confinement généralisé, pour prendre la mesure de l'épidémie de faillite, de dépression, de suicides, de psychoses, vers laquelle nous nous dirigeons ; pour que des stratégies alternatives à la fermeture des commerces de proximité soient envisagées sérieusement et mises en place en plus de la vaccination ou du confinement général, qui ne sont pas du tout efficaces, comme le montre dans tous les pays la 3ᵉ vague.

Depuis le début de l'épidémie, le quidam français savait que l'épidémie coronavirus n'était pas réelle, il le sentait viscéralement, instinctivement et se défiait des mesures barrières, des masques. Le citoyen considérait le confinement comme un pur signe de dictature, pour lui le virus Covid-19, ça n'existait pas, c'était à la télévision. Pour le gouvernement, qui dictait depuis les conseils de Défense les informations délivrées dans les médias au public, l'épidémie nationale se manifestait comme des indicateurs, des chiffres somme toute virtuels, affichés par les applications mobiles ministérielles. Des chiffres qui sonnaient comme un appel téléphonique dans la poche, qui vibraient même en mode silencieux, pour se révéler à la foi de leurs nouveaux adeptes, qui eux vivaient la matérialité des chiffres grâce aux décisions publiques que les indicateurs leur inspiraient. Après les hécatombes de 2021, les charlatans du conseil scientifique macronien furent emprisonnés à vie et l'institution abandonnée, salie par l'eugénisme médical et la cupidité. 

Bien pire, les estimations de champ épidémique infectieux, le chapitre des conditions endémiques de circulation virale dans les sociétés humaines, passés à la trappe, avec la corrélation aux contacts aéroportés dans les transports et les industries, confondus avec la comptabilité gestionnaire du nombre d'usagers, comme s'il était possible de compter les particules de virus, alors même que les tests diagnostiques reposaient sur des extrapolations de l'analyse génétique. 

Les décideurs publics tentaient de passer les eaux fluviales à l'épuisette, mais le virus se transformait alors en flux, en champ d'ondes insaisissables, comme s'il n'était pas réel, comme si sa complexité, sa propension à voyager de ville en ville, de pays en pays, nous le rendaient rebelle, insoumis comme une créature sortie de nos laboratoires corrompus, néo-réalisation pandémique du monstre de Frankenstein. L'abomination se réveillait alors, pour hanter nos hivers comme nos printemps.

Pour toute épidémie, il existe en surcroît des contaminations diagnostiquées (Cd) une circulation épidémique (Cé), inobservable et non mesurable, susceptible d'une estimation analytique qualitative ou logique, à l'exclusion de toute autre méthode d'évaluation quantitative. 

Soit : 

∃ Cé = (Cd + x) ∉ (R)


Hypothèse 1.1 d'infection aéroportée : La contamination diagnostiquée (Cd) via les prélèvements dans les eaux usées ou les tests diagnostics grand public pourrait ne pas inclure les cas de contacts infraliminaires qui ne donnent lieu ni à une contamination asymptomatique, ni à une forme syndromique de la maladie, mais seulement à une circulation virale inobservable et aéroportée.


Hypothèse 1.2 de relargage épidémique cyclique : La circulation épidémique discrète (x) reposerait sur un processus cyclique de propagation virale, peu observable mais amplifié par les politiques publiques de confinement/déconfinement, à la faveur de la réaction post-traumatique maniaque après une période d'enfermement qui amènerait les "cas contact" les plus anciens à relarguer les variants viraux antérieurs, au sein d'une circulation épidémique à plusieurs variants génétiques.


Hypothèse 1.3 de circulation épidémique par catalyse commensale : Il existerait des facteurs épidémiques environnementaux, extracellulaires inter-membranaires, qui favoriseraient la circulation aéroportée du virus, ainsi que les cas de contamination virale, via des bactéries et des particules fines d'origine naturelle ou industrielle, aéroportées ou contenues dans les produits de la digestion sous forme de nanotubes métalliques.




Houle ou marée ?

Le concept flou, hystérique de la vague saisonnière s'est brisé sur la jetée du cimetière des notions inutiles et des comparaisons fortuites, en battant les flancs de la côte du coronavirus.

D'après les spécialistes, la notion de rebonds épidémiques ne rend pas compte des transformations de l'objet épidémique, le virus et ses variants. Cependant, la distinction de plusieurs épidémies phylogénétiques ne permet pas d'insérer les épisodes épidémiques successifs dans une même continuité temporelle. Cette contextualisation du déroulement temporel d'une épidémie nous est pourtant nécessaire, afin de penser et d'évaluer les effets des politiques sanitaires, du confinement, des mesures barrières ou du port du masque. Les modèles abstraits voire abscons de la vague, pourraient nous amener à croire que le virus se propage en onde, comme la houle ou les marées, par des successions de vagues, de crêtes gonflées par l'action du vent froid d'hiver dans les voiles des bateaux, agitées et battantes comme les ailes multicolores du virus, volant de ville en ville, tel un papillon. Nous avons donc besoin de concepts temporels afin de décrire l'évolution temporelle successive des différents variants de covid, car les répercussions psychologiques de l'épidémie ne peuvent pas être décrites sans cette dimension temporelle. Malheureusement, la nature risque de se présenter comme une inspiratrice trompeuse, pour rendre compte de phénomènes de contagion étroitement conditionnés par la structure industrielle globalisée des sociétés humaines, par les transports, le tourisme et le commerce de consommation de masse. La propagation de l'épidémie suit des lois naturelles, comme les fluides étudiés en physique, mais elle évolue avec les techniques industrielles humaines et les transports. Ainsi, en agronomie la table à marée serait une analogie prototypique à même d'intégrer la dimension de l'intervention sociale et des biais d'implication des acteurs engagés. 
Le moulin à eau pourrait encore permettre de mieux prendre en compte la prégnance des dispositifs industriels et techniques humains dans les phénomènes d'apparition, de réapparition, de propagation et d'extinction de l'épidémie covid.

Florilège des hypothèses invalides du Conseil Scientifique

- Saisonnalité de l'épidémie : Invalide, car le rythme de l'épidémie suit le découpage culturel des saisons et non les variations météorologiques du climat, comme le montrent les différents variants à la surface des continents qui se sont adaptés à différentes températures. Toutefois, l'écoulement temporel des saisons est corrélé aux pics épidémiques et à leurs recrudescences, dans la mesure où l'épidémie évolue avec la réaction humaine aux saisons, c’est-à-dire avec les flux touristiques et l'activité économique signalée par les transports entre les agglomérations et à l'intérieur d'une même ville, entre le centre et les périphéries.

- Entrave à la prescription de l'Hydroxychloroquine : Invalide et contraire à la déontologie médicale, car une décision publique fondée sur une seule étude démentie par son journal de publication ne peut être raisonnablement maintenue, d'autant que plusieurs autres études ultérieures n'ont non seulement pas respecté les indications des experts sur la pertinence du traitement avant le déclenchement d'une forme grave, mais en plus se sont arrêtées prématurément lorsqu'elles trouvaient malgré tout des résultats favorables. Les autorités sanitaires ne sont compétentes en ce domaine que pour vérifier que les médecins n'ont pas refusé aux patients qui le demandaient le traitement de leur choix.

- Confinement généralisé des citoyens, des bars, des restaurants, des services d'hygiène et de bien-être et des commerces : Invalide, car ce type de confinement citoyen n'est pas corrélé à la diminution de l'épidémie, mais au contraire favorise l'affaiblissement du système immunitaire collectif des groupes humains. Si l'immunité collective, y compris vaccinale, n'est pas envisageable au niveau national ou régional pour cette épidémie, à cause de la trop grande variabilité génétique du covid, au niveau du département, du canton, de la commune, des micro-phénomènes d'immunité collective pourraient permettre à des collectivités de se protéger en réduisant les échanges et les déplacements avec les territoires limitrophes.

- Maintien des transports, des autoroutes, du tourisme, des industries et des grandes surfaces : Invalide, car en s'obstinant à vouloir recommencer à vivre comme avant, nos gouvernants, élus, industriels, médecins, prolongent la contagion épidémique et exposent le peuple français à une épidémie irréversible dont il faudra se revacciner deux fois par an, avec des risques d'effets secondaires similaires aux symptômes du covid et à sa fréquence en population générale. Le déconfinement risque d'être positivement corrélé à des rebonds épidémiques par effet d'emballement maniaque post-traumatique, si bien que le confinement aurait surtout pour effet de prolonger la crise économique, faute de remise à plat, en relançant répétitivement l'épidémie. De la même manière, un couvre-feu qui suivrait une période de déconfinement en annonçant un reconfinement, pourrait tout à fait provoquer une concentration des échanges commerciaux et des flux humains sur les heures pleines, en précipitant les démarches en prévision du reconfinement à venir et donc augmenter la circulation de l'épidémie, via les flux des transports et du commerce.

Restaurateurs : Les paternaires incontournables des mesures barrières ?

Face à la catastrophe épidémique que nous traversons, les restaurateurs devraient devenir les premiers partenaires du gouvernement, afin de protéger les Français et de leur donner accès à la culture culinaire. Ils devraient se voir attribuer collectivement le monopole des livraisons du commerce électronique. Chaque restaurateur enregistrerait une vingtaine d'abonnements de clients de son quartier au maximum et serait chargé de toutes les livraisons à domicile issues du commerce en ligne pour ces foyers. De cette manière, il pourrait proposer sa carte à domicile, mais aussi protéger ses clients en se plaçant comme une barrière sanitaire entre les circuits de distribution et les consommateurs, en suivant des protocoles de réception et livraison. Ils devraient disposer de locaux pour servir d'entrepôt aux livraisons et mener des informations, animer le lien social, voire proposer des tests. En cas de contamination d'un des foyers, l'ensemble des clients du même restaurateur se verraient confinés avec des protocoles de livraison renforcés au plan sanitaire.



11 bonnes leçons des erreurs stratégiques du gouvernement

1) Augmenter les moyens des hôpitaux en nombre de lit et en personnel médical, augmenter les minimaux sociaux afin de lutter contre la misère de manière pérenne.
 
2) Protéger la vie des quartiers en préférant isoler les habitants ensemble à l'échelle du secteur, de l'arrondissement, du département, en les privant de transport mais sans consigne d'enfermement chez soi ni de fermeture des commerces, des services d'hygiène et de bien-être.

3) Interdire les rassemblements dans les grandes surfaces, les industries ou les locaux des entreprises et les bâtiments publics situés dans les secteurs dont les eaux usées sont contaminées.

4) Renforcer la décentralisation des services publics sanitaires, en déplaçant les affectations régionales vers les départements et les communes, de manière à préparer le démantèlement des ARS et le remplacement des directeurs administratifs par des soignants élus.

5) Appuyer la gestion de la crise sanitaire sur une légitimité politique et parlementaire forte, éclairée par la consultation des élus locaux et la mise en œuvre de consultations directes des citoyens et des experts.

6) Conditionner la participation à des rassemblements festifs, des spectacles ou des cérémonies religieuses à la réalisation de tests organisés et facilités par les communes.

7) Ne jamais ordonner de mesure de déconfinement en phase de décroissance, après les pics épidémiques, mais seulement lors des plateaux, à cause de l'effet d'amplification des micro-rebonds dus à la circulation du virus entre asymptomatiques.

8) Développer l'entraide et la vie sociale sans masque dans les quartiers entre les citoyens rattachés à une même unité locale de confinement dont les eaux usées doivente être testées régulièrement.

9) Renoncer à vivre à nouveau comme avant, à prendre la voiture pour aller chercher le pain, travailler en open space ou dépendre économiquement du tourisme.

10) Ne jamais plus se fier aux stratégies vaccinales vendues aux autorités publiques par des laboratoires corrompus, qui ne visent pas à ralentir la propagation du virus, mais seulement à en limiter les effets les plus graves.

11) Restaurer la souveraineté des citoyens français au plan sanitaire, en soumettant les compétences sanitaires comme les consignes de confinement à des procédures référendaires ou de démocratie directe.




Le terme de "seconde vague" décrit l'allure d'une courbe de données épidémiques, mais c'est une analogie faible qui devient erronnée quand il s'agit de décrire l'évolution et la propagation de l'épidémie de Covid. 

La pandémie ne se propage pas en plusieurs vagues, ce sont seulement les petites croix reportées sur du papier millimétré par les épidémiologistes qui ressemblent à des vagues.

Le terme de vague ne permet pas de comprendre la continuité entre les deux pics épidémiques, ni que la gestion du premier confinement est directement responsable de la nécessité du reconfinement.

La propagation de la coronavirus ne peut pas être prédite par les températures saisonnières, non que ces dernières n'aient aucune influence, mais plutôt que les flux humains, en particulier touristiques et transfrontaliers, rendent ces variations climatiques négligeables.

Pour rendre compte de la différence entre les centres urbains et les périphéries ou les campagnes, nous devons comprendre les 2 pics épidémiques comme le résultat d'une seule et même épidémie, affaiblie jusqu'à disparaître lors du 1er confinement dans les périphéries les plus distantes des centres urbains, tandis que le virus continuait dans les villes à contaminer des asymptomatiques dans les transports, dès lors que les populations les plus fragiles avaient été soit décimées soit protégées par des mesures barrières avant de nouvelles mutations des souches, via les réseaux de transport en commun, les embouteillages automobiles ou le tourisme.

La comparaison avec des vagues en dynamique des fluides reste donc imprécise et inexacte, n'est pas scientifique, faute de nous aider à contextualiser l'évolution temporelle de l'épidémie en termes de flux humains.

Nous proposons donc le terme de "rebond épidémique", afin de décrire la reprise des contaminations à partir des souches virales existantes du premier pic épidémique, qui ont survécu dans le métro, les bus et les voitures.

Combien de morts attendrons-nous, combien de rebonds, pour nous apercevoir que l'épidémie ne s'est jamais éteinte, puisque nous n'avons pas arrêté sa propagation latente dans les transports ?

Les Prévisions du jour : Une hécatombe après Noël (80%), les vaccins efficaces seulement quelques mois (97%), la solution miracle des cellules immunitaires modifiées (100%), les laboratoires pharmaceutiques responsables de la propagation du virus qu'ils prétendent vacciner tout en sachant pertinemment que le covid est lui-même un vaccin et donc pas assez stable, trop variant génétiquement, pour être ciblé par une stratégie vaccinale (100%).

1) Les délais d'application du confinement et du déconfinement doivent intégrer des consignes de fermeture ou de réouverture progressives, étalées sur au moins 10 jours, qui doivent reposer sur des indicateurs plus fiables que les tests grand public, comme ceux issus de l'échantillonnage des eaux usées.

2) Selon l'importance de la contamination des eaux usées et suivant les secteurs de localisation d'une épidémie, il convient en premier lieu de fermer les transports en commun, de rationner le carburant et de fermer les grandes surfaces sauf livraison, afin d'une part de limiter la contagion d'un département à l'autre et d'autre part, afin de limiter les déplacements et les rassemblements à l'extérieur des quartiers résidentiels.

3) La décision d'isolement ou d'enfermement de la population en confinement n'est constitutionnelle que si elle a été soumise au préalable à une votation démocratique, de même que la gestion d'une crise épidémique d'ampleur internationale ne peut légitimement être laissée à un groupe politique élu avant le déclenchement de la crise. 
Un gouvernement d'Union nationale appuyé sur un parlement fraichement élu et relégitimé est nécessaire à la survie du pays.

4) Les services d'hygiène, salons de coiffure, salles de sport, esthéticiennes et autres professions de bien-être doivent être subventionnés, de même que les services d'approvisionnement alimentaire de quartier, les commerces, les librairies, les marchés et les boutiques qui permettent de limiter les déplacements à l'extérieur des quartiers résidentiels (y compris les livraisons trop lointaines).

5) Les bâtiments privés et administratifs accueillant des rassemblements importants de personnes doivent être fermés en fonction de leur taille en nombre de présences simultanées dans un même bâtiment et suivant l'importance de la contamination des eaux usées. Les locaux des ministères, les directions, les agences, les universités, les lycées et les collèges les plus importants en nombre d'usagers devront être fermés et dématérialisés en télétravail, de même que les sièges et les bâtiments des grandes entreprises, dès que l'alerte épidémique se porte sur un secteur localisé d'échantillonnage des eaux usées. La réouverture dépendrait donc de l'indicateur des eaux usées de chaque quartier.

6) Les communes doivent organiser une politique de tests permettant à tout un chacun d'organiser un évènement, un rassemblement, un spectacle ou une manifestation, impliquant une préinscription des participants à l'évènement avec leurs coordonnées et la date de leur dernier test, afin de préserver les libertés fondamentales et notre dignité humaine.

7) Les cliniques privées aux alentours des services d'urgence saturés doivent être réquisitionnées de préférence aux transferts de malade entre régions. De même, la première priorité de l'État doit devenir la rémunération des soignants, la création de lits de réanimation et d'hospitalisation. La seconde priorité est de préserver la santé mentale des Français, leur bien-être psychologique et donc de rembourser intégralement toutes les consultations psychologiques en ouvrant la possibilité à la prescription du cannabis thérapeutique et récréatif par les psychothérapeutes, plutôt que de laisser ce rôle aux enfants des réseaux terroristes. La troisième priorité est pour la France de se positionner en tant qu'État sur le marché des cryptomonnaies en affectant un tiers de la puissance de calcul informatique de son appareil administratif à la valorisation d'une nouvelle monnaie nationale, afin de financer la réforme du système de santé et un revenu universel pour tous les citoyens.

8) Une plateforme de vote électronique et de consultation publique permanente doit être mise en place, avec des procédures de contrôle et de vérification par courrier postal.


Le Président Maladroit : Il se la joue perso et blesse les autres, au lieu de faire une passe

Conséquences sanitaires de la vaccination :

La rapidité de conception et validation des thérapies géniques au titre de l'arsenal vaccinal, implique des économies sur la compréhension globale des effets de ces produits vaccinaux à long terme, mais aussi des imprécisions cliniques sur la prophylaxie des injections. Ces deux aspects représentent deux polarités d'expertise indispensables à toute autorité médicale. Nous ne pouvons et ne devons par conséquent pas reconnaître la valeur médicale des vaccins, mais seulement les décrire comme des produits industriels technologiques issus de multinationales privées dont les objectifs reposent sur des mécanismes financiers et non plus sur l'art pharmaceutique, qui est devenu pour ces laboratoires un simple moyen, afin de générer des profits indépendamment de la déontologie médicale. En effet, la nécessité de refroidir à basse température les vaccins pour éviter leur péremption, pose la question de l'évolution du produit dans le temps. Si le liquide vaccinal se modifie à basse température, ou lorsqu'il est sorti du congélateur, au point que son volume augmente en créant les conditions pour une sixième dose, là où seulement 5 étaient prévues, est-ce que la température du corps humain ne risque pas d'accélérer l'augmentation de volume et si oui avec quelles conséquences ?
La modification du volume des molécules vaccinales pourrait-elle s'étaler sur plusieurs années, ou interagir avec d'autres parasites cellulaires, difficiles à éliminer ?
Ces questions légitimes doivent conduire les instances internationales à recadrer les labos au moyen du Droit international, afin de rendre obligatoire la transparence des brevets et leur ouverture progressive.

Dans une maison de retraite, des injections contenant 5 fois la dose normale des vaccins à ARN messager BioNTech-Pfizer ont été administrées à des travailleurs sociaux. Ils faisaient partie des personnes prioritaires, pour  la campagne nationale de vaccination. Parmi sept femmes et un homme, âgés de 38 à 54 ans, quatre individus ont été placés en observation pour de légers symptômes grippaux, mais aucun effet secondaire grave n'a été pour l'instant repéré. 

Les autorités sanitaires allemandes recommandent désormais d'utiliser l'excédent de l'ampoule prévue pour 5 doses, afin de constituer une sixième dose, mais de ne surtout jamais mélanger plusieurs excédents, pour obtenir une sixième dose.

Si ces informations sont rassurantes, en ce qui concerne le personnel contraint à la vaccination à cause de ses nombreux contacts avec des personnes à risque, en revanche elles ne nous disent rien sur le risque concernant les personnes âgées ou souffrant de comorbidité, ni sur d'éventuels effets secondaires discrets à long terme. 

La découverte d'une sixième dose, là où des quantités de cinq doses étaient prévues, confirme l'hypothèse de la présence de nanoparticules artificielles dans les vaccins, car ce type de nanotubes, éventuellement complexe ou métallique, a la propriété de se fragmenter en augmentant son volume, sans réduire sa masse.

Le résultat de cette fragmentation, se répartit probablement dans les cinq doses, mais se concentrerait surtout dans la sixième dose, avec une action cellulaire plus pénétrante, plus rapidement. À cet égard, il paraîtrait plus prudent de jeter l'excédent, au lieu de le recycler dans les veines d'une personne âgée ou souffrant de comorbidité.


Si le surplus observé dépendait du dosage manuel des seringues, il ne devrait pas être suffisant pour constituer une 6ᵉ injection, quelques gouttes tout au plus. Ces pseudos-vaccins sont issus de techniques industrielles précises et mesurées qui ne devraient pas permettre de telles surprises d'augmentation de volume. De plus, s'il s'agissait d'un simple excédent normal, pourquoi ne pas mélanger plusieurs excédents issus de différentes ampoules ?

Si dans l'ampoule mère il y a un excédent de volume de 20% dû à des incidents de remplissage, cela signifie donc que pour Noël, Pfizer a conditionné au hasard des ampoules excédentaires parmi d'autres sans excédent. Dans ce cas-là soit vous êtes conspirationniste et vous pensez que le labo ajoute des produits supplémentaires dans ce vaccin roulette russe, soit vous constatez que les conditions de remplissage des ampoules ne sont ni uniformes, ni précises, ce qui ne fait pas sérieux pour une industrie technologique de pointe comme ce laboratoire pharmaceutique.

La fabrication de ce vaccin reposerait sur les nano-technologies, dont les nano-particules ont tendance à se fractionner avec le temps, c’est-à-dire à se périmer : comme dans un spray aérosol, avec une queue de comète où se concentrent les particules les plus fines.

Le vaccin ARN n'a pas été testé sur les personnes âgées, il y a un risque qu'il contienne des nanotechnologies : Plus la dose est périmée, plus les nanoparticules y seraient nombreuses et risquent d'interagir avec les particules fines accumulées tout au long de la vie par nos anciens. 

Le vaccin injecté diffuserait progressivement des molécules de plus en plus fines dans le corps, jusqu'à ce que le seuil de tolérance soit dépassé après quelques mois, ou quelques années. 

Les autorités sanitaires norvégiennes ont mis sous moratoire la campagne de vaccination ARN à cause de 30 morts rapides suite à une injection. Pfizer a quant à lui augmenté le prix de son vaccin quand ils se sont aperçus que certaines ampoules contenaient 7 doses au lieu d'un peu plus de 5  (Source : Journal Libération du 22/01/2021).

Gouvernement sanitaire mondial :

Les fondements scientifiques, médicaux et stratégiques des produits pseudo-vaccinaux lancés sur le marché sont trop fragiles et dénaturés par les logiques de marché soutenues par des dynamiques de ségrégation sociale. C'est la tentative de contraindre la vaccination par la force de l'autorité publique, globalisante, multipolaire, qui entraînera la chute des faux médecins, qui auront cru sauver des malades en exposant la population générale à une contamination vaccinale, alors que les grands professeurs auront oublié de recevoir leurs patients, avant de sélectionner les plus résistants génétiquement à la nouvelle norme immunitaire vaccinale. Ces aspects sombres, totalitaires et inhumains, demeurent porteurs d'une grande lumière d'espoir, parce que nos citoyens les plus éduqués, les plus riches, les plus célèbres et les plus intelligents vont devoir s'opposer frontalement aux médecins administratifs, technocrates avisés en eugénisme procédural. L'expérience du sang contaminé en France, celle plus récente du Médiator, montrent que les mécanismes "soft" issus de la justice et du système démocratique électoral en France ont atteint une certaine maturité. L'intelligentsia française voudra retirer le pouvoir médical aux technocrates des partis politiques, éventuellement en subvertissant leurs appareils. Cette subversion partisane existe même déjà au cœur de la stratégie despote de Macron, mais elle est à double tranchant et à mouvements dialectiques de bascule. La soumission à des valeurs incompatibles avec la République souveraine amènera, dans de nombreux pays, la chute du pouvoir administratif médical, qui se sera permis d'estropier la souveraineté inaliénable des individus, en l'entravant de ses mouvements dans sa communauté et pire, en aggravant l'épidémie. 
Celle-ci va continuer à choquer l'humanité, en lui infligeant des soubresauts orientés par les politiques eugénistes défavorables aux personnes âgées et la fascination du gouvernement automatisé technologique.

Bilan :

- La majorité élue à grand-peine sur un projet politique de renouvellement générationnel grâce à la société civile a dû interrompre ses réformes pour faire face à la crise épidémique.

- Le contexte économique a été totalement bouleversé par la pandémie et les mesures de confinement, si bien que le projet qui légitimait l'action des élus LREM est à présent caduc, nul et non advenu.

- L'ensemble des lois et des règlements passés sous Macron risquent d'être annulés en bloc en cas d'alternance politique, d'autant plus que ces mesures législatives et exécutives ont été décidées, en ce qui concerne le domaine sanitaire, sans consulter ni les parlementaires ni le peuple (referendum) ni les autorités scientifiques indépendantes.

- L'ensemble de nos institutions scientifiques, comités d'éthiques ou autorités indépendantes ont été subverties par un conseil scientifique opaque, sous conflit d'intérêt avec des partis-pris idéologiques et hygiénistes, appuyés par l'absence de nombreuses spécialités d'expertise comme les psychologues, ce qui n'a pas permis de débat pluridisciplinaire stratégique.

- Le conseil scientifique a orienté la stratégie française contre la majorité qui s'exprimait dans les sondages en s'opposant à la vaccination. Sans tenir compte de l'impossibilité d'obtenir une réelle immunité collective au niveau national faute de consentement de plus de 60% de la population, le conseil a tenté de manipuler l'opinion, de la convaincre, alors que le principe même de la stratégie vaccinale repose sur l'objectif de l'immunité collective.

- Les différents gouvernements désignés par Macron ont tous échoué pour les missions sanitaires qui leur revenaient : Distribution de masques lors du 1er pic épidémique, tests durant le confinement, application de mesures immédiates en cas de tests positifs (soin, isolement, hydroxychloroquine, fermeture des bâtiments...), adéquation du nombre de lits d'hospitalisation au nombre de malades, réquisition des cliniques privées, approvisionnement en vaccin, recueil du consentement des résidents en Ehpad, etc.

- Ni les "stop & go" de confinement/déconfinement, ni les vaccins n'ont permis à aucun pays d'éviter la propagation des nouveaux variants du virus. Les vaccins ne sont pas efficaces contre les nouvelles mutations et le confinement/déconfinement généralisé favorise et accélère la compétition entre les différents variants. Nous ne connaissons pas les effets à long terme de ces produits à la formule encore instable, dont les laboratoires producteurs ont failli à honorer les délais de livraison. Encore pire, les décès intervenus sur des personnes âgées, alors que cette catégorie d'âge n'avait pas été incluse dans les expérimentations en laboratoire, suggèrent une diffusion lente de nanoparticules dans les cellules de l'organisme à laquelle les plus anciens seraient les plus vulnérables.

- Sans légitimité électorale renouvelée, sans sanction dans les urnes de la politique sanitaire adoptée jusqu'à présent, même les mesures les plus évidentes ne seront pas respectées par les Français, qui se diviseront en fonction de leurs intérêts particuliers. Face à la crise sans précédent que nous vivons, nous devons choisir un gouvernement qui représente l'union nationale et non seulement le CAC 40, de manière à gérer l'épidémie à partir de critères sanitaires et non seulement pour sauver les profits des fleurons de notre économie. Au demeurant, 15 jours de fermeture en cas de contamination d'un bâtiment feront toujours moins de mal à l'économie réelle que la fermeture des commerces de proximité et les "stop & go" à répétition tout au long de l'année. Toutefois, nos acteurs économiques doivent prendre la mesure de la nouvelle donne et cesser de mettre les citoyens en danger : le tourisme n'est plus une source de revenus viable, ni à court terme ni d'ici cinq ans.

«Chacun fait des erreurs chaque jour. Celui qui ne fait pas d'erreur, c'est celui qui ne cherche pas ou qui ne fait rien, ou qui mécaniquement fait la même chose que la veille » (E. Macron)

L'action de l'État ne devrait pas reproduire les erreurs de chacun. Au contraire, l'intelligence collective devrait nous permettre de dépasser nos erreurs individuelles. Bien sûr, pour que l'ego de nos gouvernants ne s'identifie jamais à la force publique incarnée, ils ont besoin pour cela d'un appareil législatif, des contributions de la société civile et de l'expertise pluridisciplinaire des universitaires. Si nous suivons la logique de notre Despote, lorsque que le Conseil de Défense s'abstient de rechercher des alternatives stratégiques à la vaccination, il ne fait pas d'erreur. Lorsqu'il ne distribue pas de masques durant le premier pic épidémique, qu'il ne réalise pas de tests lors du confinement, qu'il ne prend aucune mesure en cas de test positif individuel ou dans les eaux usées des bâtiments, lorsqu'il laisse les précaires tomber dans la pauvreté et les pauvres dans la misère, lorsqu'il n'augmente pas le nombre de lits d'hospitalisation, il ne fait pas d'erreur. Lorsque mécaniquement, il ordonne deux, puis trois confinements/déconfinements, sans aucun résultat à moyen terme sur la propagation épidémique, lorsqu'il reproduit la stratégie vaccinale de tous les pays qui subissent de plein fouet au même moment une troisième vague, il ne fait pas d'erreur.

Monsieur Le Président, si vous confiiez la charge de la recherche, de la gestion économique et de la correction des erreurs gouvernementales au Parlement, vous ne feriez pas toutes ces erreurs. Le risque que vous prenez, vous l'assumez en irresponsable, "après moi le déluge", mais nous, nous le payons, avec notre santé, avec la vie de nos anciens, avec l'espérance de notre jeunesse, avec notre désespoir et notre colère.

- Comme nous l'ont montré les pays les plus réactifs, les plus efficaces pour fermer leurs frontières et ralentir les déplacements des personnes en fonction des résultats rapides des tests diagnostiques, il nous aurait été possible de maîtriser l'épidémie, si notre gouvernement avait mis en place les mesures adéquates : masques, tests rapides et localisés, fermeture rigoureuse des grandes surfaces, des entreprises et des batiments administratifs contaminés pendant 15 jours, avec échantillonnage mensuel des eaux usées dans les stations de transport ou les toilettes des batiments administratifs et des sièges sociaux, sans aucun confinement nécessaire de la population.

- Dans l'hypothèse où le virus serait d'origine artificielle, pharmaceutique, tel une créature rebelle échappée d'un laboratoire, il est probable que dans ce cas il a été conçu avec une visée thérapeutique immunitaire, vaccinale ou génique. Il serait peut-être plus économique de se laisser contaminer comme notre Président, plutôt que de payer aux multinationales pharmaceutiques la mise à jour du virus "libre". Malheureusement, l'amélioration du sytème immunitaire induite par le covid19 peut conduire à une suractivation inflammatoire mortelle chez les personnes atteintes de comorbidité, de plus le prétendu vaccin est lui-même susceptible d'effets "secondaires", en produisant des symptomes comparables, liés à une suractivation immunitaire.

- Le mode de propagation du virus s'appuie tellement sur le mode de vie occidental centré sur les transports, qu'il continuera à muter et à se généraliser de plus en plus, si bien que même si les formes létales auront disparu, les conséquences à long terme sur la population asymptomatique devront êre ré-évaluées à la lumière d'une meilleure connaissance des effets infrasymptomatiques des différents variants génétiques. Outre les conséquences délétères sur le système respiratoire et le tube digestif, nous devrons aussi mettre à plat les conséquences psychologiques des politiques publiques de confinement, de communication sanitaire ou de vaccination, avec leur effet de déclenchement de l'effondrement économique à venir.

- La reprise de la circulation des flux automobiles et des transports en commun dans les centres économiques et administratifs, surtout autour des frontières, serait à chaque déconfinement la principale cause de propagation de l'épidémie. De plus les formes graves du covid seraient corrélées à des interactions avec des pollutions environnementales, un peu comme l'asthme : particules fines affectant la qualité de l'air, métaux lourds présents dans l'alimentation et les médicaments.

- La faible efficacité des stratégies vaccinales est due non seulement au fait que les produits mis en vente sur le marché ont des formules instables dont les effets à long terme demeurent inconnus, mais également à l'incohérence des politiques de communication vis-à-vis de l'immunité collective et de sa réalisation possible. Tous les sondages d'opinions ont montré que cette immunité ne sera pas réalisable en France, tout simplement parce que la population a un niveau d'étude moyen trop élevé pour accepter une injection dont les contrats de vente ont été cachés par le parlement européen, avant d'être diffusés sur le dark net... Les thérapies géniques du pseudo-vaccin reposeraient-elles sur des nanotechnologies rendues secrètes, en dépit du droit de chaque citoyen français à une information éclairée sur les traitements qui lui sont prescrits ?

- Les atteintes répétées des GAFAM à la souveraineté des États comme à la liberté de communication des citoyens sont devenus intolérables et appellent des options militaires. Les logiciels propriétaires comme les réseaux sociaux dominants reposent sur des modèles économiques injustes qui imposent des technologies bridées, tant au plan de la performance que de l'expression souveraine citoyenne et politique. La suppression des comptes mail, ou des profils sur les réseaux sociaux, doit être sanctionnée pénalement de même que les limitations d'audience prononcées en dehors d'un cadre juridictionnel légal. Les autorités publiques doivent refuser la pensée unique de Wikipédia-Google en ouvrant les connaissances universitaires au réseau Internet afin d'associer les étudiants et les enseignants à la construction du savoir collectif.

L'échec de la technocratie administrative, c'est de n'avoir pu représenter les intérêts de ceux qui les avaient portés au pouvoir, face aux lobbies sectaires corrompus, de n'avoir pu assimiler l'autorité sanitaire à l'autorité médicale, mais au contraire, de nous avoir donné la preuve, que plus jamais dorénavant, les décisions médicales ne devront être confiées à des gestionnaires, à des comptables ou à des communicants.

4 indicateurs de la faillite du régime politique français

1) La majorité parlementaire est fracturée, des initiatives individuelles ou des frondes internes montrent que le groupe majoritaire ne s'appuie pas sur un parti structuré, un collectif ou une vision partagée. Les décisions politiques ne proviennent plus des représentants du peuple, mais des cabinets de lobbying installés dans les bureaux de l'Assemblée afin de défendre des intérêts privés.

2) Le jeu économique international implique que les intérêts des banques privées entre en conflit avec les politiques publiques en faveur de l'intérêt général et de la répartition des richesses. Cette guerre économique s'incarne dans la dimension politique, car les acteurs privés placent leurs agents désormais directement à la tête de l'Etat, au su et au vu de tous, en violant le contrat social souverain. Les pratiques de la NSA (Q-Anon) en matière de préservation de la vie publique de personnages publics incriminés pour des faits graves de corruption financière ou participation à des activités criminelles organisées, nous laisse craindre que de faux profils soient implantés aux plus hauts niveaux des institutions policières, médicales et politiques des Etats occidentaux, ou que des personnalités corrompues ne soient instrumentalisées et téléguidées dans l'exercice du pouvoir.

3) Le domaine médical, technique et scientifique est défaillant. Les infrastructures méritoires de l'école et de l'Université ont été subverties par le système financier et bancaire, qui a refusé de reconnaître la valeur académique du savoir, au profit de perspectives lucratives orientées par la dématérialisation et le croisement de données. Or ces supports, bien que plus rapides que l'imprimerie, sont aussi moins stables, moins fiables et plus facilement falsifiables : la valeur scientifique devient spéculative et court un risque d'invalidité, de charlatanisme accru, avec des falsifications des études publiées, interprétations trop généralisantes de probabilités statistiques, chiffres arrangés en fonction des résultats financiers attendus, conflits d'intérêt, dissimulation du contenu des brevets scientifiques.

4) L'automatisation des procédures de décision politique, voulue par les multinationales d'intérêt privé, est déjà utilisée au plus niveau de l'Etat et coordonnée par des instances internationales qui ne sont pas transparentes. In fine, les conséquences sanitaires qui affectent la survie des citoyens, les risques éthiques, propres à la démarche scientifique, d'eugénisme médical, d'euthanasie forcée ou de génocide technologique, impliquent de soumettre les décisions robotisées à des décisions humaines, à des collèges d'experts en sciences humaines issus des universités et des écoles de maîtres.
Le mécanisme de contrôle républicain, inscrit dans la séparation des pouvoirs, va probablement s'épuiser, jusqu'à ce que des procédures de Justice incriminent les plus hautes instances de l'Etat français, pour avoir favorisé des décisions inhumaines concernant notre survie, éventuellement en s'abstenant de prendre les mesures adéquates, ou en trahissant notre souveraineté nationale.

2022 : Malgré ses échecs successifs dans la gestion de l'épidémie, le despote Macron s'est maintenu au pouvoir, envers et contre toutes les critiques, les mouvements sociaux, les attaques en justice ou les expertises indépendantes. Les mécanismes institutionnels éprouvés de la 5ᵉ République se sont vus délaissés, au profit de réformes constitutionnelles ou organiques qui organisaient la répression des libertés démocratiques. Le Président s'est retrouvé à la tête d'un gouvernement fantoche, sans majorité parlementaire, pour mettre en œuvre les difficiles mesures sanitaires, qui contredisaient justement le projet économique sur lequel il avait été laborieusement élu.
La crise épidémique a mis en évidence l'inadéquation de la formation et des outils administratifs des énarques pour gérer cette crise sans précédent. Les directeurs des agences régionales, après leur condamnation à de lourdes peines de prison, se sont retournés contre leurs autorités ministérielles de tutelle, si bien que la gestion de l'épidémie a été décentralisée au niveau des départements. Suite à cette nouvelle donne politique, les Français se sont mobilisés, pour adhérer aux partis politiques jusqu'à un niveau jamais atteint auparavant. L'afflux des nouveaux adhérent était tel, que les appareils partisans ont été débordés par le dégagisme des nouveaux militants, si bien que le résultat des primaires avant les présidentielles se révèlent totalement imprévisibles. Les enjeux principaux du débat tournent autour de la stratégie sanitaire du pays et à travers elle, autour de la confiance accordée au Conseil scientifique, aux laboratoires pharmaceutiques privés ou aux organes de la presse scientifique. Les opposants au gouvernement despote, estiment que la stratégie de Macron a été guidée par l'idéologie qui lui était dictée par des lobbys industriels et financiers, alors que ces derniers ont contredit l'expertise médicale, en tentant de protéger leurs intérêts privés. La garde rapprochée du camp présidentiel, isolée, réduite à la défense de l'ancien ministre de la Justice, tente de soutenir l'immunité de l'exécutif comme un pilier démocratique. Malheureusement, en lâchant les députés après le vote, évité de justesse, d'une motion de censure, le despote s'était privé de ses seuls soutiens.

Comment éviter un reconfinement général ?

1) Demander à l'armée et aux pompiers de tester tous les 15 jours les eaux usées dans les bâtiments des centres administratifs, commerciaux et industriels, ainsi que dans les stations de transport en commun.

2) Fermer les bâtiments contaminés et les lignes de transport infectées pour 15 jours.

3) Rationner l'essence dans les municipalités les plus touchées afin de ralentir la propagation dans le département.

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